Re: Gelcoat
Publié : 25 mai 2023 11:32
Pour une caravane, peut-être faire comme sur les coques de bateau en plastique, ... c’est fantastique
Le matériau le plus répandu pour la construction de bateaux de plaisance est le plastique ou ses dérivés sous forme de composite.
une couche de gelcoat, puis de façon traditionnelle, à la main, des couches successives de fibre de verre et de résine, souvent polyester, sont superposées. L'entretien est peut-être avec les même produits pour plastique ?
lien vers article en partie reproduit i dessous : https://www.bateaux.com/article/33983/p ... n-5-etapes
1 / Nettoyage
Avant de commencer, la première chose à faire est de nettoyer la coque avec une brosse et du savon. L'objectif étant d'enlever les aspérités présentes sur la surface qui viendraient rayer la coque sous l'effet du polissage.
Pour les coques les plus oxydées, on peut, après avoir mouillé la coque, la brosser avec un mélange eau / acide chlorhydrique. Attention, à cette étape, il est important de neutraliser l'acide en procédant au lavage au savon immédiatement.
2/ Ponçage
Pour les coques les plus oxydées, il sera nécessaire de passer par l'étape de ponçage. L'objectif étant de se débarrasser de la couche supérieure du gelcoat. Un polish de bateau utilisant cette méthode, prolonge l'effet brillant, mais en contrepartie, l'épaisseur du gelcoat est diminuée. A ne pas faire tous les ans donc.
3 / Polissage
Ensuite, vous allez prendre une microfibre pliée en 2 ou 4 pour appliquer la pâte à polir sur une surface d'environ 50 X 50 cm. Utilisez la même lustreuse que précédemment équipée d'une peau de mouton cette fois-ci et polisher la coque jusqu'à la disparition complète de la pâte à polir et que la surface semble parfaitement brillante (ce n'est pas encore le cas, nous allons le voir).
Toujours à vitesse moyenne, faites attention à ne pas rester trop longtemps au même endroit au risque de brûler le gelcoat.
Si la température est basse, vous pouvez travailler sur des surfaces plus grandes, par contre si elle est élevée, vous allez devoir pulvériser de l'eau sur votre section pour ne pas que le polish sèche, ce qui le rendrait moins efficace.
4 / Lustrage
A ce stage, vous devriez déjà être fier de vous et vous accorder une petite pause café et un croissant pour l'énergie. Oui, parce que ce n'est pas fini ! En effet, la surface parait actuellement brillante et conviendrai à la plupart des gens, mais nous sommes des perfectionnistes.
Lorsque que vous regardez la coque sous certains angle avec le soleil, il y ce que l'on appelle des hologrammes, non il n'y a pas de personnage bleuté qui apparait sur la coque, il s'agit de petits tourbillons disgracieux créés par la lustreuse orbitale. Pour se débarrasser des hologrammes, il faudra terminer par l'étape de lustrage.
Avec une lustreuse excentrique équipée d'une mousse de lustrage (plutôt tendre et alvéolée si possible), vous allez procéder de la même manière que pendant le polissage. La seule différence réside dans la vitesse de la lustreuse : basse dans un premier temps pour s'assurer de bien étaler le liquide puis très rapide pour sécher celui-ci et bien terminer le lustrage. Après avoir lustré la section, il sera nécessaire de se débarrasser des restes de liquide de lustrage avec une microfibre propre.
5 / Finition à la cire
Cette étape n'est pas obligatoire, mais si vous voulez faire les choses à fond, félicitations ! La cire va, pendant quelque temps protéger la coque des UV et offrir une surface très déperlante, mais elle va aussi offrir un brillant un petit peu plus profond. Ici pas besoin de machine, tout se fait à la main avec 3 microfibres.
L'application de la cire doit se faire du côté à l'ombre du bateau pour un travail plus rapide et moins éprouvant pour vos bras et épaules.
Applique la cire avec la première microfibre avec des mouvements circulaires
Lorsque la cire est sèche, la retirer avec la microfibre numéro 2
Avec la microfibre numéro 3 qui doit rester très propre, terminez pour enlever les éventuels restes de cire et la poussière.
Si après ça, votre bateau n'est pas brillant, il faudrait peut-être envisager une peinture ou un covering parce que là, vous avez fait le maximum.
Le matériau le plus répandu pour la construction de bateaux de plaisance est le plastique ou ses dérivés sous forme de composite.
une couche de gelcoat, puis de façon traditionnelle, à la main, des couches successives de fibre de verre et de résine, souvent polyester, sont superposées. L'entretien est peut-être avec les même produits pour plastique ?
lien vers article en partie reproduit i dessous : https://www.bateaux.com/article/33983/p ... n-5-etapes
1 / Nettoyage
Avant de commencer, la première chose à faire est de nettoyer la coque avec une brosse et du savon. L'objectif étant d'enlever les aspérités présentes sur la surface qui viendraient rayer la coque sous l'effet du polissage.
Pour les coques les plus oxydées, on peut, après avoir mouillé la coque, la brosser avec un mélange eau / acide chlorhydrique. Attention, à cette étape, il est important de neutraliser l'acide en procédant au lavage au savon immédiatement.
2/ Ponçage
Pour les coques les plus oxydées, il sera nécessaire de passer par l'étape de ponçage. L'objectif étant de se débarrasser de la couche supérieure du gelcoat. Un polish de bateau utilisant cette méthode, prolonge l'effet brillant, mais en contrepartie, l'épaisseur du gelcoat est diminuée. A ne pas faire tous les ans donc.
3 / Polissage
Ensuite, vous allez prendre une microfibre pliée en 2 ou 4 pour appliquer la pâte à polir sur une surface d'environ 50 X 50 cm. Utilisez la même lustreuse que précédemment équipée d'une peau de mouton cette fois-ci et polisher la coque jusqu'à la disparition complète de la pâte à polir et que la surface semble parfaitement brillante (ce n'est pas encore le cas, nous allons le voir).
Toujours à vitesse moyenne, faites attention à ne pas rester trop longtemps au même endroit au risque de brûler le gelcoat.
Si la température est basse, vous pouvez travailler sur des surfaces plus grandes, par contre si elle est élevée, vous allez devoir pulvériser de l'eau sur votre section pour ne pas que le polish sèche, ce qui le rendrait moins efficace.
4 / Lustrage
A ce stage, vous devriez déjà être fier de vous et vous accorder une petite pause café et un croissant pour l'énergie. Oui, parce que ce n'est pas fini ! En effet, la surface parait actuellement brillante et conviendrai à la plupart des gens, mais nous sommes des perfectionnistes.
Lorsque que vous regardez la coque sous certains angle avec le soleil, il y ce que l'on appelle des hologrammes, non il n'y a pas de personnage bleuté qui apparait sur la coque, il s'agit de petits tourbillons disgracieux créés par la lustreuse orbitale. Pour se débarrasser des hologrammes, il faudra terminer par l'étape de lustrage.
Avec une lustreuse excentrique équipée d'une mousse de lustrage (plutôt tendre et alvéolée si possible), vous allez procéder de la même manière que pendant le polissage. La seule différence réside dans la vitesse de la lustreuse : basse dans un premier temps pour s'assurer de bien étaler le liquide puis très rapide pour sécher celui-ci et bien terminer le lustrage. Après avoir lustré la section, il sera nécessaire de se débarrasser des restes de liquide de lustrage avec une microfibre propre.
5 / Finition à la cire
Cette étape n'est pas obligatoire, mais si vous voulez faire les choses à fond, félicitations ! La cire va, pendant quelque temps protéger la coque des UV et offrir une surface très déperlante, mais elle va aussi offrir un brillant un petit peu plus profond. Ici pas besoin de machine, tout se fait à la main avec 3 microfibres.
L'application de la cire doit se faire du côté à l'ombre du bateau pour un travail plus rapide et moins éprouvant pour vos bras et épaules.
Applique la cire avec la première microfibre avec des mouvements circulaires
Lorsque la cire est sèche, la retirer avec la microfibre numéro 2
Avec la microfibre numéro 3 qui doit rester très propre, terminez pour enlever les éventuels restes de cire et la poussière.
Si après ça, votre bateau n'est pas brillant, il faudrait peut-être envisager une peinture ou un covering parce que là, vous avez fait le maximum.